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Education
Kikoti
2016-2019: Development of the village of Kikoti in the D.R.Congo through a school and agricultural project
Project

Location:

The project is run in Kikoti, a village in the province of Kwilu in the Democratic Republic of the Congo. Kikoti is located about 500 km east of Kinshasa. The inhabitants of Kikoti village live mainly from a simple agriculture.

Current situation:

Living in the village of Kikoti is not easy: People do not have access to drinking water, nor to the public electricity network. There are only a few shops, few public infrastructures and few transport opportunities available. Agricultural techniques and manioc drying techniques are not appropriated, the next manioc and corn mill is extremely far away.

Some information:

The village of Kikoti covers an area of 25 km2 and has population of about 42.000 inhabitants. Numerous people from surrounding areas, who have been unable to find a job have come to Kikoti in search for a better future. The few existing schools in the village are often not accessible for children from poor families. Mostly, classrooms are in rudimentary buildings without the necessary infrastructure such as desks and chairs.

Description of the project (download FLYER)

- Construction and equipment of 6 classrooms with adequate sanitary facilities.
- Training of new farming techniques for 250 villagers.
- Classes in agriculture for 450 students.
- Installation of a manioc dryer and a mill for manioc and corn

Beneficiaries

450 students will benefit from the classrooms and sanitary facilities.
250 farmers will learn new techniques of cultivation and drying.
5,250 villagers can use the dryer for their manioc plants.
5,250 villagers will use the mill to grind manioc and corn.

Funding

309'630.35 EUR : Budget allocated to the project
206'420.23 EUR : Contribution of the Luxembourgish Government
103'210.12 EUR : Contribution of Action pour un Monde Uni asbl

Local partner in the DR Congo : AECOM.

Co-financed by the Luxembourgish Ministry according to the framework agreement signed between the Luxembourgish Ministry and the NGO Action pour un Monde Uni on 11.01.2018.

Akum
2006-2010: Formation pratique et création d‘emplois pour jeunes filles dans les domaines de la boulangerie et de la restauration à Akum/Bamenda
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Coût total du projet: 51'262.40 €
Action pour un Monde Uni: 17'087.47 €
Gouvernement Luxembourgeois: 34'174.93 €

Partenaire local: Mouvement des Focolares à Bamenda


Les activités de boulangerie se sont progressivement développées par la production de pain, de gâteaux, de tourte de poisson et chinchin – une spécialité locale.

Depuis juillet 2008 la vente de pain se fait dans trois magasins dont un supermarché ce qui fait que l’offre de pain atteint une clientèle plus large. Depuis mars 2009 le pain est également livré à l’hôpital pour les personnes diabétiques ainsi qu’à un magasin spécialisé en alimentation diététique.

Les gâteaux et la pâtisserie sont surtout vendus pour des événements spéciaux comme des mariages, des fêtes familiales ou des anniversaires. Bien que les gâteaux soient demandés de plus en plus, le pain reste le produit le plus vendu.

La formation en matière de restauration, initiée en mars 2008 s’est déroulée comme prévue et commence à porter ses premiers fruits. Entre avril 2008 et mars 2009 le service de restauration a pu être offert à quatre reprises. Toutes sortes de gâteaux ont pu être livrés à l’occasion de mariages, de décès et d’autres fêtes familiales.

A n de pouvoir offrir un service plus complet encore, il y a eu, à partir de novembre 2008, quelques activités de couture pour la décoration des salles de fêtes.

Port-au-Prince
2012-2013: Reconstruction de l'école "le Réformiste"
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Coût total du projet: 381'663.20 €
Action Avenir Haïti asbl: 24'869.48 €
Action pour un Monde Uni: 22'380.00 €
Gouvernement Luxembourgeois: 324'413.72 €

Projet réalisé en coopération avec ACTION AVENIR HAITI asbl.


En 2010 Action Avenir Haïti asbl. a acheté le terrain avec l’immeuble et a clôturé le terrain avec un mur. L’ancienne maison étant partiellement démolie, la charpente et les tôles de la toiture ont pu être utilisées pour construire des salles de classe provisoires longeant le mur qui limite le terrain sur le côté droit.

Afin de garantir un minimum d’hygiène pour la cantine, une annexe (seulement rez-de-chaussée) a été construite avec les fonds de l’asbl AAH Luxembourg. Pour la même raison les latrines ont déjà été construites.
Grâce à la mise en place de ces structures provisoires l’année scolaire 2010/2011 a pu être assurée.

Aujourd’hui 200 enfants orphelins, monoparentaux ou démunis ont la chance de fréquenter cette école gratuitement, et peuvent y apprendre à lire et à écrire. De même chaque enfant a droit à un repas chaud par jour, servi à l’école, et dispose du matériel et d’un uniforme scolaire, indispensables pour suivre les cours.

Les 9 enseignants travaillent sous un contrat de travail et peuvent profiter d’une assurance maladie.

AAH Luxembourg paye aussi un directeur administratif, un conseiller pédagogique, des cuisinières et un gardien d’immeuble. Les frais de fonctionnement de l’école reviennent à EUR 3.000 par mois et ils sont pris en charge par des donateurs du Luxembourg.

Construction d’une nouvelle structure:

La sécurité étant un critère important dans le choix de la technique de construction utilisée et la faisabilité dans un temps approprié, nous a convaincu de réaliser une construction en bois. Une entreprise luxembourgeoise (Toitures Rollinger) nous a proposé leur collaboration et leur soutien. Ils proposent des éléments préfabriqués adaptés aux conditions météorologiques et naturelles du pays ainsi qu’à la situation de montage sur place et au transport. Ils se mettent même à disposition pour former des techniciens haïtiens au préalable dans leur entreprise. Par ailleurs ils nous proposent de payer le salaire et les frais de voyage pour deux de leurs techniciens qui monteront la construction sur place.

Bénéficiaires:

200 enfants entre 4 et 15 ans et leurs familles. (Les frais d’écolage sont payés moyennant un système de parrainage)
Le personnel enseignant (9 professeurs, 1 aide-jardinière, un directeur pédagogique, un directeur technique, un gardien, deux cuisinières.)
Les associations locales peuvent profiter de la salle de réunion. (Groupes scoutes, groupement de jeunes, association des artisans locaux, club de football)
La population de la zone Rivière froide; soit environ 400 familles (Cybercafé /bibliothèque)

Mont-Organisé
2006-2007: Construction, aménagement et équipement de 2 salles de classe, d'une cuisine pour la cantine ainsi que le creusement d'un puits d'eau pour l'école ds Frères Unis de Zilma.
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Coût total du projet: 26'777.84 €
Action pour un Monde Uni: 8'925.95 €
Gouvernement Luxembourgeois: 17'851.89 €

Partenaire local à Haiti: Ecole des Frères Unis de Zilma


Historique de l’école des Frères Unis de Zilma

À Zilma tout a commencé en 1996 quand des membres de la Coopérative Agricole Frères-Unis de Mont-Organisé, en abrégé CAFUMO*, ont décidé de venir en aide aux "enfants de la rue" de Zilma. La coopérative a acheté un terrain pour y construire une tonnelle en paille pour accueillir les enfants. Cette école initialement dénommée "Ecole Frères Unis des Enfants Pauvres de Zilma" fut fondée le 14 novembre 1996 avec au cours des deux premières années une classe d'alphabétisation de 44 enfants.

Ce fût en 2000 qu'un bâtiment en bâtons ronds de bois et toit en tôle comprenant 4 classes a été construit. Cette construction a été financée grâce à l'appui de la paroisse "Immaculate Conception Church (Rév. Père Harry Clacke) de Toronto et une participation à hauteur de 25% par les parents des élèves qui tous sont membres de la Coopérative. Cependant, il est à noter que ces constructions en bâtons de bois ne peuvent être considérées comme des constructions permanentes. Elles ne peuvent résister aux intempéries, assez fortes dans cette région.

Le projet de AMU a été réalisé à Zilma, un village perdu vers la frontière avec la République Dominicaine et sans routes d’accès. Les habitations sont de simples cabanes construites en bois ou en tôle, éparpillées un peu partout.

L’école à Zilma a trouvé ses origines en 1996 quand des membres de la Coopérative Agricole Frères Unis de Mont- Organisé, en abrégé CAFUMO, ont décidé de venir en aide aux enfants de la rue.

Par ce projet, l’école de Zilma a été agrandit par deux salles de classes et par une cuisine équipée. De plus, une alimentation en eau potable a pu être assurée par la mise place d’un système de collecte des eaux de pluie. Le creusement d’un puits, initialement prévu n’a pas pu être réalisé, compte tenu des prix y relatifs qui avaient augmenté et qui dépassaient les budgets disponibles.

Les conditions hygiéniques de l’école ont quand même pu être améliorées de façon que, suite à ce projet le Programme Alimentaire Mondial (P.A.M.) met à disposition la nourriture et l’alimentation pour les enfants de l’école.

2008: Construction et équipement de deux salles de classes pour l'école de "La Sainte Famille" située dans la banlieue du Bourg de Mont-Organisé.
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Coût total du projet: 12'890.47 €
Contribution du partenaire local: 214.84 €
Action pour un Monde Uni: 4'081.98 €
Gouvernement Luxembourgeois: 8'593.64 €

Partenaire local à Haiti: Ecole des Frères Unis de Zilma


La population de la région de Mont-Organisé provient en grande partie d’une vague d’expulsion de familles haïtiennes établies en République Dominicaine en 1937.

Ces gens ont dû quitter tout. Vu que Mont-Organisé est proche de la frontière dominicaine beaucoup de ces fa- milles se sont installées à cet endroit. Elles sont restées pauvres. D’après l’indice de développement humain des Nations Unies, Haïti se classe 150ième sur les 173 pays recensés.

En 2002, d’après un dossier publié par l’UNESCO sur la lutte contre la pauvreté en Haïti, la pro- portion d’analphabètes est de 55%. La dé cience ali- mentaire, la faiblesse du pouvoir d’achat, de l’encadrement médical et scolaire constituent un lourd handicap au développement socio-économique du pays.
C’était en octobre 1998 que l’école la Sainte Famille a débuté avec un effectif de 80 élèves. L’école compre- nait 2 salles de classes. Deux enseignants en- seignaient sans être ré- munérés et les parents des élèves participaient au fonctionnement de l’école par une contri- bution de 125 gourdes (+/- 3,12 dollars), a n d’acheter des cahiers et
de la craie.
Après 7 ans d’existence, en octobre 2005 et suite à l’acquisition des ter- rains nécessaires on
a construit 6 salles de classes supplémentaires pour l’école « La Sainte Famille ». Aujourd’hui l’école compte 359 élèves. À quatre reprises déjà, des élèves ont parti- cipé à l’examen d’Etat avec une réussite de 81%.
Afin de réduire le nombre d’élèves par classe et de créer un environnement agréable et hygiénique, notre projet prévoit la construction de 2 salles de classes supplé- mentaires avec fabrication locale du mobilier.

2010-2012: Développement des écoles "Frères Uni de Zilma" et "La Sainte Famille" en vue d'une amélioration des conditions d'éducation et de vie des habitants de la commune de Mont-Organisé.
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Coût total du projet: 203'149.66 €
Action pour un Monde Uni: 67'716.55 €
Gouvernement Luxembourgeois: 135'433.11 €

Partenaire local à Haiti: Ecole des Frères Unis de Zilma


C’est depuis l’année 2006 que l’Action pour un Monde Uni collabore étroitement avec le partenaire « Ecole Frères Unis de Zilma » de Mont-Organisé en Haïti. Deux projets ont été réalisés ensemble en 2006 et en 2007. Même si ces projets ont apporté une amélioration de la situation pour les élèves, les conditions d’apprentissage sont loin d’être favorables pour les élèves. Par ce projet, nous envi- sageons d’offrir une éducation complète aux étudiants de deux écoles.

Même si ces écoles n’ont pas été détruites par le tremble- ment de terre en janvier 2010, on enregistre dans cette ré- gion, comme d’ailleurs dans beaucoup de régions rurales, une augmentation de la population quittant les zones dé- truites par le tremblement de terre.

C’est cette augmentation de la population qui donne en- core plus d’importance et qui nous montre l’urgence de ce projet. Lors d’une rencontre le 15 juin 2009 avec André Weis, notre personne de contact pour les projets en Haïti, nous nous sommes mis d’accord sur un 3e projet avec notre partenaire local à Mont-Organisé en Haïti. André Weis expliquait qu’il manque encore plein de choses pour pouvoir offrir aux enfants des villages de la commune de Mont-Organisé une éducation adéquate.

Ensemble avec le partenaire nous avons développé le projet suivant :

Ecole primaire et maternelle «Sainte Famille»
– Construction de cinq salles de classe
– Construction d’une cuisine
– Installation de quatre toilettes
– Aménagement d’une salle en bibliothèque et centre
informatique
– Fourniture du matériel didactique pour l’enseignement
– Fourniture du matériel pour jeux
– Forage d’un puits
– Mise en place d’une clôture
– Construction et équipement de trois salles de classe, d’un dépôt et d’un bureau pour l’enseignement préscolaire
Ecole primaire «Frères unis de Zilma»
– Construction de quatre salles de classe
– Construction d’une grande salle communautaire
– Construction de trois chambres à coucher
– Fourniture de matériel informatique
– Forage d’un puits
– Mise en place d’une clôture

Suite à l’accord ministériel de décembre 2010, une première avance de paiement a pu être effectuée en février 2011. Les travaux ont été entamés en mars 2011 et avancent très bien, comme le montrent les photos.

2015-2018: Development of the agricultural sector in Mont-Organisé in Haiti
Project

Location
The project is carried out in the municipality of Mont-Organisé, near the border with the Dominican Republic. The North-East department has about 280.000 inhabitants. It is subdivided into 4 districts: Fort Liberté, Ouanaminthe, Trou du Nord and Vallières. The district of Ouanaminthe regroups 3 municipalities, including Mont -Organisé.

Current situation
Haiti is a country living primarily from agriculture. However, even on fertile farmland farmers encounter difficulties in improving their yields. They often lack adequate farming techniques, means to develop their land, and trainings on how to improve their work.

Some numbers
In Haiti only 60% of the population receives a meal a day. Today, Haiti must invest 80% (326 Million USD) of its export revenue to re-import food: 50% of its consumption of dairy products, 75-85% of its cereals and almost 100% of its sugar and oils. In addition, more than 1 million Haitians have left their land and their country to seek a better future in the Dominican Republic.

a) Training of 150 local farmers in the cultivation of vegetable and cereal crops.
b) Training of "Technical Facilitators" to transfer knowledge to farmers in other communities.
c) Use of appropriate techniques, such as irrigation, to increase agricultural production by up to 30%.
d) Creation of a cooperative to sell products at the regional level.

Beneficiaries

The direct beneficiaries of this project are 150 farmers who can benefit from the trainings. Indirectly, 250 families will benefit from the project as well as those who will be reached by the knowledge transfer provided via the technical facilitators.

Funding

229'319.29 EUR : Budget allocated to the project
152'879.53 EUR : Contribution of the Luxembourgish Government
61'439.76 EUR : Contribution of Action pour un Monde Uni asbl
15'000.00 EUR : Local contribution

Local partner in Haiti: PACNE

Co-financed by the Luxembourgish Ministry according to the framework agreement signed between the Luxembourgish Ministry and the NGO Action pour un Monde Uni on 11.01.2018.

Visit reports

next visit planned in september 2018

Buenos Aires
2011-2013: Centre Esperando Sueños à Villa Albertina
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Coût total du projet: 115'740.20 €
Action pour un Monde Uni: 38'580.70 €
Gouvernement Luxembourgeois: 77'160.13 €

Partenaire local: Association Civil Nuevo Sol


La population du quartier « Villa Albertina » compte un pourcentage élevé d’enfants et d’adolescents qui passent la plus grande partie de la journée en dehors du temps scolaire à traîner dans les rues, exposés aux problèmes tels que drogues, prostitution, violence…, ou en face de l’autre alternative accessible : contempler un autre monde grâce à la télévision.
Dans cette zone, on ne compte pas de places publiques et les grands espaces libres sont pleins d’ordures. La réalité économique et sociale dans laquelle ces enfants et jeunes vivent les retient de toute alternative recréatrice comme peuvent en profiter ceux d’un autre pouvoir d’achat.

Description du projet à réaliser

Le centre « Esperando Sueños » essaie, à côté des activités de sports, d’encadrer d’avantage les familles. Il y a eu de nombreuses réunions d’information au cours des dernières deux années sur le rôle du soutien familial ainsi que le rôle maternel et paternel. Les ateliers sur le thème des « limites dans la famille» ont été parmi les plus visités. La violence dans le sport et les alternatives pour résoudre les conflits sans violence est un sujet souvent abordé dans les réunions de discussion. De plus, le centre a organisé des ateliers d’information sur des sujets de santé spécifiques, tels que: la prévention de drogues, les bonnes habitudes alimentaires,… Le centre essaie aussi de relancer les discussions avec les écoles de la zone afin de réintégrer des adolescents, ayant abandonné leurs études, dans l’enseignement.

Santa Maria di Catamarca
2007-2010: Construction d'ateliers pour la fabrication et la vente de produits artisanaux au sein de l'école "Aurora" à Santa Maria di Catamarca en Argentine.
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Coût total du projet: 183'509.33 €
Action pour un Monde Uni: 61'169.78 €
Gouvernement Luxembourgeois: 122'339.55 €


Objectif global:

Contribuer au développement socio-économique de la région de Catamarca par l'augmentation de l'espace pour l'enseignement dans les locaux existants et la construction d'ateliers pour le tissage, la céramique et le travail du métal. Favoriser ainsi l'insertion sociale des jeunes et des femmes en leur offrant des possibilités de formation et d'emploi.

Objectif spécifique:

Beaucoup de familles vivant dans des régions rurales proches de la Cordillère des Andes dans le département de Santa Maria risquent la marginalisation sociale due au processus de globalisation mondiale. Ce projet offre, par la création de locaux supplémentaires au sein de l'école "Aurora" à Santa Maria, aux jeunes l'opportunité de se former et d'apprendre un métier dans le domaine de l'artisanat traditionnel et de préserver ainsi les techniques ancestrales. L'école "Aurora" à Santa Maria est actuellement la 1ère institution en Argentine et la 2è en Amérique latine à protéger la culture ancestrale qui pour beaucoup de personnes représente un moyen de survie.

Sao Paolo
2003-2005: Centre Educatif "Aurora" à Sao Paolo
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Coût total du projet: 436'864.88 €
Contribution du partenaire local: 18'400 €
Action pour un Monde Uni: 120'166.52 €
Gouvernement Luxembourgeois: 277'133.04 €


Objectif global:

Créer d’avantage d’opportunités d’enseignement pour les enfants et jeunes de la région de Vargem Grande Paulista.

Construction d'un bâtiment destiné au Centre Educatif "Aurora" sur un terrain d'une superficie de 121.000 m2 situé dans la Municipalité de Vargem Grande Paulista, Commune de Cotia, Etat de Sao Paulo.

Objectif spécifique:

Rendre disponible l’infrastructure nécessaire qui va du préscolaire à l’enseignement primaire et à l’enseignement moyen par la construction d’un bâtiment devant servir de Centre Educatif afin - d’adapter les salles de classe aux normes nationales en vigueur ; - d’améliorer les conditions dans lesquelles l’enseignement se fait ceci en application du décret-loi précisant les normes de promotion, de protection et de recouvrement de la santé dans le cadre des compétences du Secrétariat d'Etat à la Santé du Brésil ; - de regrouper les 13 classes d’élèves dispersées dans différentes maisons particulières louées ; - d’augmenter la capacité et le nombre de salles de classe afin de pouvoir offrir un enseignement à un plus grand nombre d’élèves, un cycle complet d’un enseignement moyen et d’éviter aux jeunes de devoir se déplacer à plus de 150 km.

Bogotá
2006-2007: Construction d'une cuisine avec réfectoire à l'école "Jardin-Feliz" près de Bogotá
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Coût total du projet: 60'000 €
Action pour un Monde Uni: 20'000 €
Gouvernement Luxembourgeois: 40'000 €


L'école "Jardin Feliz" qui fonctionne avec l'autorisation du Ministère de l'Education comprend à ce jour 7 salles de classe dont 5 pour les cinq premières années de l'enseignement primaire et 2 salles pour le préscolaire. L'école existe depuis 9 ans et occupe actuellement sept enseignants et quatre chargés de cours (éducation physique, musique, etc.) pour un total de 176 enfants.

"Jardin Feliz" accueille des enfants de familles à peu de revenu qui ne participent qu'à raison de 40% aux frais de l'école – principalement pour l'alimentation. Les autres 60% de fonctionnement sont assumés par l'école grâce à des subventions et dons ainsi que la vente d'articles de boulangerie et de pâtisserie.

L'objectif du projet est de garantir aux enfants une croissance intégrale par une alimentation complémentaire comprenant petit-déjeuner et rafraîchissements. Ceci ne peut se faire que dans des conditions hygiéniques, raison pour laquelle la construction d'un réfectoire et d'une cuisine équipée est requise.

Montevideo
2011-2014: Centre de formation "Alberto Fernandez" à Montevideo
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Coût total du projet: 144'994.90 €
Action pour un Monde Uni: 48'331.63 €
Gouvernement Luxembourgeois: 96'663.27 €


Les objectifs du projet:

Redonner une dignité sociale aux personnes du quartier à travers une éducation de valeurs basée sur la fraternité et la solidarité et améliorer les perspectives professionnelles des adolescents du quartier pauvre « Barrio Borro ».
Soutenir les adolescents à ne pas abandonner leurs études.
Enseigner aux adolescents des valeurs sociales et humaines à travers des cours et des ateliers.
Offrir aux adolescents des formations professionnelles afin de leur permettre de trouver un emploi par après.

Les activités:

Offrir des formations en étiques sociales, droits des adolescents, la santé et le bien-être, la culture uruguayenne, le civisme,…Lancer un programme de formation en gastronomie en collaboration avec l’Université du travail d’Uruguay. Construire un local pour assurer un bon déroulement de l’atelier de travaux manuels et pour tenir les cours de formation mentionnés ci-dessus.

Les bénéficiaires:

Les bénéficiaires du projet sont les adolescents qui fréquentent le « Centro Juvenil » Le nombre des bénéficiaires directs sont les 62 jeunes qui participent actuellement aux activités du « Centro Juvenil ». Sur une période de projet estimée à 3 ans, +/- 120 jeunes peuvent profiter directement de ce projet. Les bénéficiaires indirectes sont estimés à 480 personnes de l’entourage familial des jeunes.

La situation des jeunes au quartier Barrio Borro:

La situation que vivent les jeunes du quartier « Barrio borro » est très difficile et laisse peu de place à l’imagination d’un future meilleur.
La plupart des jeunes ont abandonné leurs études, même si des études jusqu’à la troisième année secondaire sont obligatoires. Ceux qui fréquentent encore l’école le font de manière très irrégulière.
En ce qui concerne les jeunes filles, il est tout à fait normal d’être enceinte pour la première fois avant d’avoir accompli les 18 ans. Souvent une femme se retrouve avec 5 ou 6 enfants, seule à la maison et il est commun que les plus aînées restent à la maison pour veiller sur les plus petits. Les garçons sont obligés d’aider à soutenir la famille. Ainsi, dans la plupart des cas, les jeunes se mettent, comme le père, à vider les poubelles pendant la nuit à Montevideo pour trouver quelque chose à manger ou des matériaux destinés au recyclage.
Ainsi les jeunes n’ont aucun apport de la part de leurs parents pour continuer leurs études.
Il faut d’ailleurs soulever que les jeunes qui recherchent un travail, souvent ne trouvent aucun employeur qui leur donne une vraie chance.
Cette situation pousse les jeunes rapidement à devenir de plus en plus inactifs et à traîner dans les rues, exposés aux problèmes tels que drogues, prostitution, violence. Pour interrompre ce cercle vicieux et pour changer à la base la situation des jeunes gens du quartier, il est important de leurs montrer d’autres perspectives et de leurs enseigner des valeurs qu’ils ont perdues au cours de générations. De plus, il est primordial de leurs offrir la possibilité d’apprendre une profession digne, autre que fouiller les poubelles.

Ruhango
2013-2015: Extension et Développement du centre scolaire "AMIZERO"
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Coût total du projet: 325'870.25 €
Contribution AMIZERO Lux: 108'623.41 €
Gouvernement Luxembourgeois: 217'246.83 €

Partenaire local: Turere Ibibondo asbl

Projet réalisé en partenariat entre AMU et AMIZERO-LUX.


Situation de départ:

Le Centre scolaire compte actuellement 17 salles (dont 15 sont utilisées comme salle de classe, une salle abrite le bureau du directeur et le secrétariat et une autre abrite une petite infirmerie pour fillettes) et est confronté à un nombre d'élèves en croissance permanente.

L’école dispose de trop peu de salles de classe pour offrir aux élèves un environnement d’apprentissage adéquat. Le matériel didactique nécessaire pour assurer un bon fonctionnement des cours fait souvent défaut. Il est constaté qu’un certain nombre d’élèves souffrent de malnutrition. Des absences prolongées d’élèves sont dues à des problèmes de santé. Il n’y a aucun suivi professionnel des élèves et de leur famille en cas d’absence scolaire prolongée, p.ex. un suivi psychologique pour des problèmes dus aux suites du génocide.

A Ruhango il n'y a pour l'instant pas de poste d'accès à l’Internet fiable, le premier point d’accès de ce genre se trouvant à Gitarama c'est-à-dire à env. 25 km;

Solutions retenues :

Doter l’école d’infrastructures adéquates : construction de deux salles de classe supplémentaires, d’un bureau de direction avec secrétariat et d’une infirmerie (pour exercer la prévention et l’éducation en hygiène, en nutrition et l’éducation sexuelle, en cas de besoin orientation des enfants vers des centres de santé).
Doter l’école du personnel enseignant requis respectant les normes de l’éducation et de l'hygiène.
Diminuer l’effectif des enfants en classe à un maximum de 36 enfants
Résoudre le problème de malnutrition dont souffrent un certain nombre d'élèves par l'intégration dans le projet d'une cantine scolaire d'une part et d'une infirmerie pour le conseil en matière de nutrition, de prévention et de traitement de certaines maladies (p.ex. le paludisme).
Mettre en place du personnel supplémentaire (infirmier, agent social).
Doter le Centre Scolaire Amizero d’un centre de rencontre disposant d’un point d’accès Internet, d’une bibliothèque, d’une salle de réunion et d’une salle de projection (coûts et devis en annexe). Ce centre de rencontre pourrait être fréquenté par la population locale et contribuerait à l’information et à l’éducation des adultes. De plus, la communication entre la communauté locale et la communauté luxembourgeoise serait facilitée.
Soutenir financièrement l’association TURERE IBIBONDO pour couvrir en partie les frais de fonctionnement pendant une certaine période, pendant qu’elle se prépare à long terme à assurer elle-même une plus grande partie du financement et la gestion de l’école (par le biais de contributions des parents d’élèves, de cotisations des membres, de recettes de locations des locaux et de matériel informatique et musical, ainsi que de cours informatiques).

Kosmadji 1
2008-2010: Construction d'une école primaire comprenant dix salles de classe
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Coût total du projet: 155'989.77 €
Partenaire local (CODEK): terrain construction €
Action pour un Monde Uni: 51'996.59 €
Gouvernement Luxembourgeois: 103'993.18 €


Le village de Kosmadji 1 est situé dans une localité très enclavée et présente un des taux de scolarisation des plus faibles du pays, ceci du fait de la non existence des moindres infrastructures adéquates. Ceci vaut également pour les villages des environs qui sont Kosmadji 2, Bila, Woueha piste, Kap, Koumba Mbang, Mbeque, Mbang 1, Mbang 2 et Bika. La population totale de ces dix villages ciblés est évaluée é 20'000 habitants.

Toutes ces populations sont bien en dessous du seuil de pauvreté (moins de 0,50 EUR par jour et par habitant). Elles vivent essentiellement des produits d'une agriculture artisanale et de la chasse. L'espérance de vie est très faible, la tranche d'âge juvénile représente 70% de la population locale.

Environ 600 enfants âgés de 4 à 15 ans de la localité de Kosmadji 1 et des neuf autres villages pourront profiter de la construction d'une nouvelle école primaire prévue par l'Action pour un Monde Uni.

Mexico-City
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Coût total du projet: 381'663.20 €
Action Avenir Haïti asbl: 24'869.48 €
Action pour un Monde Uni: 22'380.00 €
Gouvernement Luxembourgeois: 324'413.72 €

Projet réalisé en coopération avec ACTION AVENIR HAITI asbl.


En 2010

AAH Luxembourg paye aussi un directeur adm

Energy
Nyakaiga
2007-2010: Projet d'électricité par énergie solaire pour un hôpital, une école, un centre de formation et le village de Nyakaiga dans les environs du lac de Victoria
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Coût total du projet: 567'925.76 €
Contribution locale: 15'015.01 €
Action pour un Monde Uni: 174'293.58 €
Gouvernement Luxembourgeois: 378'617.17 €


Projet d'électrification en 2007:

Les problèmes dont le village Nyakaiga et les environs sont confrontés consistent dans le fait que non seulement les indigènes, mais également l‘hôpital pour toute la région, l‘église, l’école secondaire et primaires sont privées d‘électricité suffisante et doivent survivre avec un approvisionnement très limité en eau propre.

Les habitants de la région Bushangaro vivent principalement de l’agriculture et dépendent de ce qu’ils produisent. Par conséquent, ils dépendent fortement de la disponibilité en eau. Durant les périodes de pluie, les gens produisent beaucoup de fruits et de légumes. Or, comme ils ne disposent ni des installations techniques, ni des connaissances nécessaires, ils ne savent conserver leurs produits que pour une période de temps très limitée.

Afin de mieux comprendre la situation dont le village Nyakaiga est confronté, une délégation, qui se composait d’un spécialiste en énergie solaire et d’un consultant économique, mandatée par AMU se sont rendus sur place en avril 2006. Lors de cette première prise de contact, il nous a déjà été confirmé de la part de notre partenaire local, qu’un développement de cette région dépendrait entièrement de l’existence d’un approvisionnement en électricité et en eau, ainsi que de moyens de communication modernes.

Le projet vise une augmentation du niveau de vie de la population et un développement économique de la région de Bushangaro. Le but principal de ce projet est d’assurer une alimentation en eau et en électricité de la région. Cette mise à disposition des nouvelles ressources peut être un catalyseur qui permet à toute une région de devenir un point d’attraction fort pour le commerce, une agriculture plus moderne, l’artisanat et pour un niveau de formation plus élevé.

Alimentation indépendante de 70 bâtiments par de l’énergie électrique à l‘aide de 4 installations d‘énergie solaire.
Équipement de l’hôpital, du ‘convent center’ et de l’école Nyabionza de réfrigérateurs permettant de conserver des aliments, des médicaments, des vaccins et des conserves de sang. Forage de 4 puits et mise à disposition d’eau propre à la population. Adaptation des moyens de communication.

Culture de plantes à récupération d‘huile alimentaire ainsi que d‘huile à utilisation alternative au diesel conventionnel pour les générateurs d‘électricité. Mise à disposition d‘un pressoir d’huile.
Formation d’une équipe de techniciens locaux afin de garantir une bonne maintenance des installations techniques. Enseignement à la population une utilisation respectueuse des nouvelles ressources.

Les bénéficiaires:

Les bénéficiaires de ce projet sont +/- 5000 personnes de la région immédiate (5 Km).

Les enfants et les jeunes de la région de Bushangaro qui, à travers ce projet profitent d’une augmentation du niveau d’éducation.

Les jeunes qui ne doivent plus fuir la région pour trouver une vie meilleure et un futur offrant de nouvelles perspectives.

Les habitants de la région de Bushangaro qui ne doivent plus amener de l’eau sur une distance de 10 Km chaque jour. Les habitants qui ne sont plus obligés de voyager plus de 100 Km au prochain hôpital pour se faire soigner.
Les habitants qui profitent d’un développement économique de la région.
Les habitants de la région qui travaillent dans l’agriculture profitent d’une modernisation du secteur.
Les futures soeurs qui profitent d’une augmentation du niveau de formation.

2013-2016: Weiterentwicklung des Solarenergieprojektes in Nyakaiga und Bau einer Lagerhalle in Kandegesho
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Coût total du projet: 228'248.29 €
Action pour un Monde Uni: 76'082.77 €
Gouvernement Luxembourgeois: 152'165.52 €

Lokaler Partner: The Apostles of Unlimited Love Sisters


Depuis 2008, le projet d’énergie solaire assure l‘approvisionnement en énergie électrique pour la clinique à Nyakaiga. Il serait difficile de s‘imaginer encore aujourd‘hui un hôpital qui fonctionne sans énergie électrique. Le village par contre a dû être coupé de l‘alimentation pendant une certaine période. La consommation par les villageois avait dépassé la production en énergie solaire. Des limitations à plusieurs niveaux s‘avéraient nécessaires.

Ces mesures sont opérationnelles depuis une année et l‘équilibre entre consommation et production a pu être rétabli. Cette coupure en électricité était une expérience importante pour le village, qui a beaucoup contribué à une utilisation plus rationnelle de l‘énergie solaire. Les habitants ont finalement compris qu‘il s‘agit d‘une énergie non disponible de manière illimitée.

L’année passée fut donc une année très im- portante pour le projet de l’énergie solaire à Nyakaiga. De plus, cette deuxième phase du projet à Nyakaiga était marquée par la collaboration avec le nouveau partenaire local, à savoir le Diocèse de Kayanga. Cette collaboration avait été mise en place par le bureau de développement du Diocèse «KADDRO» qui est situé à Kayanga et qui dispose d’une bonne expérience de coordination et de suivi de projets d’aide au développement dans toute la région.

Depuis l‘année passée, deux missions sur place ont été accomplies par une délégation de l‘AMU. L‘objectif était de s‘assurer du bon fonctionnement de l‘installation depuis le lancement de la deuxième phase. Une prochaine visite est programmée pour décembre 2014. Cette mission aura comme but d‘analyser le fonctionne- ment de la clinique.

Une demande de la part des responsables de la clinique nous a été adressée afin de coopérer sur une amélioration de la gestion de cet hôpital.

Lagerhalle in Kandegesho

Die meisten Menschen in den ländlichen Regionen leben von der Landwirtschaft, genauer genommen vom Ackerbau. Der normale Bauer besitzt nur sehr wenig Fläche. In der Regel ist es so, dass der Bauer nach der Ernte seine Erträge verkauft. Es gibt oft keine Möglichkeiten zur Lagerung der Ernte. Natür- lich fallen die Preise, wenn alle Bauern zur Ernte- zeit auf die Märkte drängen, um ihre Produkte zu verkaufen.

Die AMU hat, auf Anfrage eines lokalen Partners in Kandegesho eine Lagerhalle (36.000 €) gebaut. Das Projekt konnte Anfang dieses Jahres fertiggestellt werden. Wir haben uns mit einigen Landwirten aus der Region um Kandegesho getroffen und uns ihre Meinung zum Projekt angehört. Die Bauern sind sehr dankbar für die Lagerhalle. Sie haben uns bestätigt, dass wenn sie ihre Ernte nur 3 Monate später verkaufen, sie den doppelten bis dreifachen Preis erzielen können.

Eine Ackerbaufirma hat sich in der Region um Kandegesho niedergelassen, weil der Boden dort sehr fruchtbar ist. Diese Firma hat circa 60 ha Land,
das der Diözese gehört, dort gepachtet. Zu Beginn waren wir etwas besorgt, dass die Firma die lokalen Landwirte vertreiben oder ihr Land in Besitz nehmen könnte.

Die Preise könnten ebenfalls durch große Getreideanbieter noch stärker beeinflusst werden. Es hat sich aber herausgestellt, dass auch diese Ackerbaufirma die Lagerhalle nutzt wodurch die Zusammenarbeit mit den Landwirten verstärkt wurde. Das Gleiche hat diese Firma auch schon in anderen Teilen Tansanias unter Beweis gestellt.

Das bedeutet, die lokalen Bauern bewirtschaften weiter ihre Felder, zusätzlich können sie bei der Firma arbeiten und sich etwas hinzuverdienen. Ein weiterer Vorteil, von dem die Landwirte uns erzählt haben, ist, dass sie durch die Kooperation Zugang zu neuem Saatgut haben.

2016-2019: Installation of a water supply for Nyakaiga village in Tanzania
Project

Location

The village of Nyakaiga is located northwest of Lake Victoria, 150 km west of Bukoba, the capital of the Kagera region. The Kagera region borders Uganda in the north, Rwanda and Burundi in the west and Lake Victoria in the east. The village has about 5.650 inhabitants.

Current situation

A problem the village of Nyakaiga faces is that not only the local population, but also a regional hospital, a secondary school and some primary schools must survive with a very limited supply of clean water. The inhabitants of this region mainly live from agriculture and therefore strongly depend on the availability of water. No water supply is in place, as is the case elsewhere in the region. As a result, all of the water used in the village must be transported from sources, located downhill at a certain distance, using containers and 20-liter cans. Generally, children and women are responsible for this work and children often have to get up early and fetch water before going to school. This lack of water is particularly difficult to manage for schools and for the local hospital.

Some numbers

Life expectancy at birth is 53 years for men and 58 years for women. 43.7% of the population in Tanzania is under 14 years old. The infant mortality rate was 65.74 % in 2011.

Description of the project (download Flyer)

Year 1: completion of works, installation of the new infrastructure, trainings
Year 2: monitoring the water supply, support, accompaniment and training of the local water management committee, adaptation of the water supply system if necessary
Year 3: follow-up of the project, accompaniment of the water management committee, evaluation of the project and adaptation of the project if necessary

Beneficiaries

The village of Nyakaiga comprises 1.215 families, resulting in 5.627 inhabitants.

The secondary and primary schools count 1.059 people (staff included). The hospital hosts a total of about 100 people /day (patients + staff). Therefore, the total of the direct beneficiaries amounts to 6.786 people (women, children and men). The number of indirect beneficiaries is estimated at +/- 10.000 people.

Funding

262'003.29 EUR : Budget allocated to the project
174'668.86 EUR : Contribution of the Luxembourgish Government 87'334.43 EUR : Contribution of Action pour un Monde Uni asbl

Local partner at Nyakaiga: KADDRO - Diocèse catholique de Kayanga

Co-financed by the Luxembourgish Ministry according to the framework agreement signed between the Luxembourgish Ministry and the NGO Action pour un Monde Uni on 11.01.2018.

Visit reports

next visit planned for October 2019

Water sanitation
Nyakaiga
2016-2019: Installation of a water supply for Nyakaiga village in Tanzania
Project

Location

The village of Nyakaiga is located northwest of Lake Victoria, 150 km west of Bukoba, the capital of the Kagera region. The Kagera region borders Uganda in the north, Rwanda and Burundi in the west and Lake Victoria in the east. The village has about 5.650 inhabitants.

Current situation

A problem the village of Nyakaiga faces is that not only the local population, but also a regional hospital, a secondary school and some primary schools must survive with a very limited supply of clean water. The inhabitants of this region mainly live from agriculture and therefore strongly depend on the availability of water. No water supply is in place, as is the case elsewhere in the region. As a result, all of the water used in the village must be transported from sources, located downhill at a certain distance, using containers and 20-liter cans. Generally, children and women are responsible for this work and children often have to get up early and fetch water before going to school. This lack of water is particularly difficult to manage for schools and for the local hospital.

Some numbers

Life expectancy at birth is 53 years for men and 58 years for women. 43.7% of the population in Tanzania is under 14 years old. The infant mortality rate was 65.74 % in 2011.

Description of the project (download Flyer)

Year 1: completion of works, installation of the new infrastructure, trainings
Year 2: monitoring the water supply, support, accompaniment and training of the local water management committee, adaptation of the water supply system if necessary
Year 3: follow-up of the project, accompaniment of the water management committee, evaluation of the project and adaptation of the project if necessary

Beneficiaries

The village of Nyakaiga comprises 1.215 families, resulting in 5.627 inhabitants.

The secondary and primary schools count 1.059 people (staff included). The hospital hosts a total of about 100 people /day (patients + staff). Therefore, the total of the direct beneficiaries amounts to 6.786 people (women, children and men). The number of indirect beneficiaries is estimated at +/- 10.000 people.

Funding

262'003.29 EUR : Budget allocated to the project
174'668.86 EUR : Contribution of the Luxembourgish Government 87'334.43 EUR : Contribution of Action pour un Monde Uni asbl

Local partner at Nyakaiga: KADDRO - Diocèse catholique de Kayanga

Co-financed by the Luxembourgish Ministry according to the framework agreement signed between the Luxembourgish Ministry and the NGO Action pour un Monde Uni on 11.01.2018.

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next visit planned for October 2019

Agriculture and Environment
Mont Organisé
2015-2018: Development of the agricultural sector in Mont-Organisé in Haiti
Project

Location
The project is carried out in the municipality of Mont-Organisé, near the border with the Dominican Republic. The North-East department has about 280.000 inhabitants. It is subdivided into 4 districts: Fort Liberté, Ouanaminthe, Trou du Nord and Vallières. The district of Ouanaminthe regroups 3 municipalities, including Mont -Organisé.

Current situation
Haiti is a country living primarily from agriculture. However, even on fertile farmland farmers encounter difficulties in improving their yields. They often lack adequate farming techniques, means to develop their land, and trainings on how to improve their work.

Some numbers
In Haiti only 60% of the population receives a meal a day. Today, Haiti must invest 80% (326 Million USD) of its export revenue to re-import food: 50% of its consumption of dairy products, 75-85% of its cereals and almost 100% of its sugar and oils. In addition, more than 1 million Haitians have left their land and their country to seek a better future in the Dominican Republic.

a) Training of 150 local farmers in the cultivation of vegetable and cereal crops.
b) Training of "Technical Facilitators" to transfer knowledge to farmers in other communities.
c) Use of appropriate techniques, such as irrigation, to increase agricultural production by up to 30%.
d) Creation of a cooperative to sell products at the regional level.

Beneficiaries

The direct beneficiaries of this project are 150 farmers who can benefit from the trainings. Indirectly, 250 families will benefit from the project as well as those who will be reached by the knowledge transfer provided via the technical facilitators.

Funding

229'319.29 EUR : Budget allocated to the project
152'879.53 EUR : Contribution of the Luxembourgish Government
61'439.76 EUR : Contribution of Action pour un Monde Uni asbl
15'000.00 EUR : Local contribution

Local partner in Haiti: PACNE

Co-financed by the Luxembourgish Ministry according to the framework agreement signed between the Luxembourgish Ministry and the NGO Action pour un Monde Uni on 11.01.2018.

Visit reports

next visit planned in september 2018

Kikoti
2016-2019: Development of the village of Kikoti in the D.R.Congo through a school and agricultural project
Project

Location:

The project is run in Kikoti, a village in the province of Kwilu in the Democratic Republic of the Congo. Kikoti is located about 500 km east of Kinshasa. The inhabitants of Kikoti village live mainly from a simple agriculture.

Current situation:

Living in the village of Kikoti is not easy: People do not have access to drinking water, nor to the public electricity network. There are only a few shops, few public infrastructures and few transport opportunities available. Agricultural techniques and manioc drying techniques are not appropriated, the next manioc and corn mill is extremely far away.

Some information:

The village of Kikoti covers an area of 25 km2 and has population of about 42.000 inhabitants. Numerous people from surrounding areas, who have been unable to find a job have come to Kikoti in search for a better future. The few existing schools in the village are often not accessible for children from poor families. Mostly, classrooms are in rudimentary buildings without the necessary infrastructure such as desks and chairs.

Description of the project (download FLYER)

- Construction and equipment of 6 classrooms with adequate sanitary facilities.
- Training of new farming techniques for 250 villagers.
- Classes in agriculture for 450 students.
- Installation of a manioc dryer and a mill for manioc and corn

Beneficiaries

450 students will benefit from the classrooms and sanitary facilities.
250 farmers will learn new techniques of cultivation and drying.
5,250 villagers can use the dryer for their manioc plants.
5,250 villagers will use the mill to grind manioc and corn.

Funding

309'630.35 EUR : Budget allocated to the project
206'420.23 EUR : Contribution of the Luxembourgish Government
103'210.12 EUR : Contribution of Action pour un Monde Uni asbl

Local partner in the DR Congo : AECOM.

Co-financed by the Luxembourgish Ministry according to the framework agreement signed between the Luxembourgish Ministry and the NGO Action pour un Monde Uni on 11.01.2018.

Food Safety
Gender equality
Health
Kinshasa
2014-2017: Construction et équipement d'une maternité et pédiatrie
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Coût total du projet: 409'559.87 €
Partenaire local (AECOM): 44'000 €
Action pour un Monde Uni: 92'519.96 €
Gouvernement Luxembourgeois: 273'039.91 €


Comme certains d’entre vous le savent déjà, depuis un certain temps l’équipe de l’AMU travaille sur un nouveau projet de construction d’une maternité et de l’approvisionnement en matériel d’un service de pédiatrie à Kinshasa.

Vous connaissez certainement encore le centre médical «MOYI MUA NTONGO» qui veut dire levée du soleil. En 2007, «Action pour un Monde Uni» a déjà financé le réaménagement d’un bâtiment supplémentaire comme centre de dépistage volontaire du SIDA et soins divers du centre médical.

La demande de cofinancement pour la maternité a été remise au Ministère début avril dernier. Ce projet prévoit la construction et l’équipement d’une maternité et l’approvisionnement en matériel d’un service de pédiatrie afin de mettre fin à l’insuffisance de la capacité d’accueil du centre médical existant.

Actuellement, toutes les femmes enceintes qui suivent la consultation prénatale à «MOYI MUA NTONGO» doivent aller accoucher dans les centres hospitaliers les plus proches. Environ 10 femmes sont transférées chaque mois auprès d’autres structures pour l’accouchement avec risque des complications mortelles.

En offrant des soins de qualité, ce projet a pour objectif la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Concrètement il s’agit:

de construire un bâtiment d’un étage sur 650 m²;
d’installer la maternité au rez-de-chaussée et la pédiatrie au premier étage avec 23 locaux et 15 lits;
d’équiper les locaux avec le matériel médical spécifique.

Seulement quelques jours après l’accord du MAE, nous avons eu la chance d’accueillir ici au Luxembourg le Dr Arthur Ngoy, gynécologue, et médecin en chef de ce centre. Dr Ngoy qui était chef de service dans le grand hôpital St Joseph de Kinshasa a eu le courage de renoncer à cette belle carrière pour s’engager dans le centre médical «MOYI MUA NTONGO» encore assez modeste. Décision à contre-courant, pas facile à comprendre par son entourage, mais après quelques années, Dr Ngoy affirme être certain d’avoir fait le bon choix.

Notre hôte, appelé Arthur par ses amis, nous a ramené une statue en bois représentant une femme congolaise qui porte son nouveau-né sur le dos. Cette femme, se lève vers trois heures du matin, elle prend sa houe pour aller travailler dans les champs. Son bébé reste avec elle toute au long de la journée afin qu’elle puisse l’allaiter selon les besoins. Avant de rentrer à la maison le soir, elle passe prendre de l’eau à la source et elle ramène cette eau pour donner à boire à sa famille.

Arthur nous explique que si cette femme vient à manquer dans une famille, toute la famille est déstabilisée et bien souvent les enfants sont traités de sorciers et socialement exclus. Des statistiques récentes montrent qu’en République Démocratique du Congo environ 550/100.000 femmes meurent lors de l’accouchement, soit deux femmes meurent chaque heure pour des causes évitables! Un accouchement n’est donc nullement sans risque dans ce pays. En tant que gynécologue, Dr Ngoy a pour ambition de s’engager tant qu’il peut afin de diminuer ces mortalités, aussi bien maternelle qu’infantile. Il faut savoir qu’actuellement en RDC un enfant sur six n’atteint pas l’âge de cinq ans et le temps juste après la naissance reste un moment très délicat. La zone de santé où se trouve le centre médical compte plus de 500 000 habitants. C’est l’unique aire de santé où on ne trouve pas un hôpital de l’Etat d’où la difficulté qu’éprouve la population pour avoir des soins adéquats.

Le Dr Ngoy a remercié de tout coeur l’AMU, tous les donateurs et les nombreuses personnes qui s’investissent pour soutenir ce projet. Différents moments forts ont caractérisé cette courte visite, notamment deux rencontres avec des enfants qui travaillent pour soutenir cette construction et la remise du chèque du déjeuner international organisé par les Jeunes pour un Monde Uni.

Notre ami congolais est impressionné par l’engagement des personnes rencontrées ici et nous sommes touchés par la réalité qui se vit à Kinshasa et par le don de soi du personnel du centre médical. Ces quelques heures nous confirment combien nous travaillons, ici et là-bas, pour la même cause.

Lima
2012-2014: Centre thérapeutique de jeunes filles de la rue
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Coût total du projet: 424'779.00 €
Contribution partenaire local: 104'167.00 €
Gouvernement Luxembourgeois: 320'612.00 €

Ce projet est financé par le Ministère des Finances luxembourgeois qui dispose d'un de lutte contre certaine formes de criminalité.


Les filles et adolescentes de la rue sont celles mineures d’entre 07 et 18 ans, qui habitent et dorment dans les rues de la ville, ont cassé total ou partiellement les liens avec leur famille en étant dans un état d’abandonnement moral et matériel, en étant généralement consommateurs de drogues (spécialement inhalants) et que, pourtant, constituent un secteur d’haut risque.

En général elles viennent de familles pas structurées, ont été victimes du abus physique pour ses parents ou figures parentales, avec importants problèmes économiques et indices élevés de dissertions scolaire. Sont filles et adolescentes qui ont “échappé” de sa maison d’origine impulsés pour une série de circonstances. Elles présentent caractéristiques de personnalité: tolérance faible à la frustration, irritabilité, déficit d’autocontrôle, méfiance devant les autres, problèmes avec l’autorité et exacerbation de la sexualité et l’agressivité.

De ne pas être secourus de la marginalité et recevoir aide opportune, le futur de ces filles, avec ses conduites antisociales, manque de scolarité, manque de règles minimums de coexistence social, addiction à substances psychoactives comme les inhalantes (“terokal”) et la cocaïne (PBC), paternité précoce, promiscuité sexuelle, c’est incertain comme êtres humaines.

Le processus de réhabilitation de filles consommatrices de substances psychoactives exige d’un traitement multidisciplinaire et constant. Dans cette attention sont inclus: alimentation, auberge, vêtement. Le traitement fournit thérapies psychologiques groupaux et individuels ainsi comme la formation et capacitation dans les ateliers de deux types: thérapeutiques et productifs.

Actuellement l’Institut “Mundo Libre” – Maison Filles, développe ses activités dans un local loué, situé dans le quartier de Jesús María, Lima, une vieille maison, dont les environnements ont été adapté au développe des activités, mais ne répondent pas aux conditions optimales pour le développe de la communauté thérapeutique. Dans ce local elles reçoivent attention intégral jusqu’aux 25 filles et adolescentes.

La localisation des ateliers ainsi comme service de bien-être (topique, psychologie, service social, éducateurs) se sont effectué en considérant la distribution actuel de la maison, ce qui limite l’adéquat fonctionnement des mêmes. La maison actuelle ne compte pas avec les zones vertes et de divertissement suffisant et adéquat pour la population avec laquelle on travaille, de sorte qu’il faut aller aux parcs pour réaliser les activités physiques comme sports, ceux qui se trouvent loin de notre local actuel.

La zone destinée aux chambres est réduite et ne compte pas avec la ventilation adéquate. La capacité de la zone destinée aux ateliers limite le nombre de participation de résidentes dans chaque un d’eux. Le projet est orienté au secteur social avec l’objectif de servir aux filles en état d’abandonnement en les dotant d’une maison en toute sécurité, avec une infrastructure de qualité et de caractéristiques spéciales de confort et sécurité structurale.

Le projet de construction permettra offrir un local pour doubler l’offre de traitement résidentiel avec plus capacité d’auberge et meilleur qualité d’attention thérapeutique aux filles et adolescentes en état d’abandonnement et consommatrices de substances psychoactives qui désirent volontairement entrer à la communauté thérapeutique avec l’espoir d’une vie digne et en bonne santé.

L’Institut “Mundo Libre” pour ces raisons on a considéré que la construction d’un Local pour le fonctionnement de la Communauté Thérapeutique de Réhabilitation et Capacitation de filles et adolescentes de la rue en état d’abandonnement et consommatrices de substances psychoactives, c’est un besoin urgent pour sauvegarder la dignité de ces vies humaines et les sauver des griffes de la rue, de la drogue et la prostitution.

La présence d’un local et ateliers adéquats nous permettra d’élargir la couverture d’attention dans ce cas surtout pour les filles et adolescentes de la rue, comme l’expansion de la qualité, en offrant un ambiance avec l’infrastructure adéquate pour son développe et réhabilitation.

2014-2015: Développement du centre thérapeutique de jeunes filles de la rue
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Coût total du projet: 282'843.99 €
Action pour un Monde Uni: 55'093.61 €
Contribution partenaire local: 39'187.72 €
Gouvernement Luxembourgeois: 188'562.66 €


Ce projet sera réalisé dans le District de Pachacamac, Province de Lima. Cette métropole compte près de 8.000.000 d’habitants.

Depuis 2007 l’AMU collabore avec l’Instituto Mundo Libre de Lima au Pérou pour le développement du nouveau centre thérapeutique de prévention contre les drogues. La première phase de construction a déjà été réalisée par l’AMU (Financement à travers le Fonds de Lutte contre les Stupéfiants).

La deuxième phase du projet est en cours d’élaboration et prévoit la construction d‘un bâtiment comprenant: - une cuisine avec cantine, - des installations sanitaires, - un depôt, - une infirmerie avec salle de repos, - l’équipement d‘un atelier de fabrication de petits chocolats pour la vente au grand public, - le financement des ressources humaines pour cet atelier de chocolaterie pour une phase de lancement de deux ans.

Le projet est orienté vers le secteur social avec pour objectif premier d’aider les petites filles et adolescentes abandonnées, durant leur processus de réhabilitation de drogues et d’alcool. Le centre propose un foyer sûr, avec une infrastructure de qualité. Les filles et adolescentes de la rue ont entre 10 et 18 ans, vivent et dorment dans les rues de la ville. Elles ont totalement ou partiellement rompu les liens avec leur famille. Elles se retrouvent dans un état d’abandon moral et matériel; en général elles sont consommatrices de drogues (spécialement par inhalation).

D’autre part, la majorité des filles et des adolescentes de la rue ont abandonné leurs études scolaires depuis leur jeune âge. Il y en a même quelques-unes qui ne savent ni lire ni écrire. Cette situation rend difficile la poursuite d’une formation après leur réhabilitation. De ce fait, il est nécessaire pendant leur période de réhabilitation, qu’elles apprennent une activité productive comme, par exemple, la fabrication de chocotejas (chocolats respectivement pralines typiques du Pérou) ou autres ateliers. En général, elles proviennent de familles déstructurées, souvent elles ont été victimes de maltraitance physique de la part des parents ou des figures parentales; s‘ajoutent d’importants problèmes économiques et un indice élevé de désertion scolaire. Ce sont des filles et adolescentes qui ont fugué de leur foyer d’origine, suite à une série de circonstances. En moyenne, 70 filles par année peuvent bénéficier des thérapies de réhabilitation. Le centre aura une capacité de logement pour 40 filles pour un programme de thérapie qui dure en moyenne 18 mois.

2015-2017: Développement du centre thérapeutique de jeunes filles de la rue - Atelier de chocolaterie
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Coût total du projet: 320'513.41 €
Action pour un Monde Uni: 66'891.61 €
Contribution partenaire local: 39'946.19 €
Gouvernement Luxembourgeois: 213'675.61 €


Ce projet est réalisé dans le District de Pachacamac, Province de Lima. La capitale péruvienne compte près de 9.450.585 habitants.

Antécédents:

C’est depuis 2007 que l’AMU collabore avec l’Instituto Mundo Libre de Lima au Pérou.
- Prise en charge de divers frais de fonctionnement.
- Développement du nouveau centre thérapeutique de prévention contre les drogues.
- La première phase de construction a déjà été réalisée par AMU (Financement à travers le Fonds de Lutte contre les Stupéfiants).

Bénéficiaires:

En moyenne, 70 filles par année peuvent bénéficier des thérapies de réhabilitation. Le centre aura une capacité de logement pour 40 filles. Le programme de thérapie dure en moyenne 1,5 ans.

Objectif du projet général:

Contribution à la lutte contre la pauvreté urbaine et diminution de la population de filles et adolescentes des rues de Lima.
Diminution de la violence, abus sexuels et consommation de drogues de ces filles.

Objectif spécifique

Construction d‘un bâtiment comprenant:
-Cuisine avec cantine Installations sanitaires
-Dépôt pour matériel Infirmerie avec salle de repos.
-Description du projet

Equipement d‘un atelier de fabrication de petits chocolats pour la vente au grand public; cet atelier fonctionnera selon les principes de l’économie de communion.

Financement des ressources humaines pour l’atelier de chocolaterie pour une phase de lancement de deux ans.

Conakry
2013-2015: Projet de soutien au programme DREAM de la lutte contre le SIDA
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Coût total du projet: 473'374.40 €
Sant'Egidio ACAP Guinée 53'000 €
Action pour un Monde Uni 104'791.47 €
Gouvernement Luxembourgeois: 315'582.93 €


Les activités des centres DREAM de Dixinn, Fassia et Dubreka

Le centre DREAM de Dixinn

Le centre DREAM est également muni d’un laboratoire de biologie moléculaire, le seul du pays où il est possible d’effectuer le calcul de la charge virale et, où un diagnostic précoce peut être effectué pour les nouveau-nés. Le laboratoire apporte dès lors une contribution importante à la lutte contre le SIDA au niveau de l’ensemble du pays, notamment en permettant à d’autres structures de soins publiques ou d’autres ONG d’effectuer des analyses sanguines.

Les deux centres DREAM satellites de Fassia et de Dubreka

Pour accéder au centre DREAM, un grand nombre des patients empruntent des taxis, ce qui constitue un coût important. Les rapports transmis par le personnel socio-sanitaire, en particuliers les activistes (personnes séropositives actives au sein du projet), ont abouti à la constatation que les patients préfèrent parfois économiser le coût du transport et ne se rendent donc pas à la consultation médicale qui est pourtant gratuite. L’accès aux soins de santé s’en trouve donc affecté.

En réponse à cette situation, deux centres de soins satellites ont été ouverts par DREAM : le premier dans la périphérie de Conakry, à Fassia, (préfecture de Coyah), en 2010, et l’autre dans une petite ville, Dubreka, à 50 km de Conakry, en 2011. Ces deux centres permettent de faciliter l’accès pour de nombreux patients qui vivent dans ces zones. Ces centres dépendent du laboratoire du centre de Dixinn de Conakry.

Actuellement, ils fonctionnent 4 jours par semaine et ne peuvent accueillir qu’un nombre limité de patients. Il est proposé de renforcer leur capacité afin de pouvoir toucher davantage de patients des zones suburbaines et rurales autour de Conakry.

A Fassia, l’unité mobile de DREAM soutient, depuis 2010, un centre satellite où est installé un petit dispensaire dans lequel peuvent être proposés tous les services du centre DREAM de Dixinn : test de dépistage, prélèvements sanguins, visite médicale, remise des médicaments et soutien nutritionnel. Cette structure légère et flexible permet donc de proposer des soins et le suivi de la maladie à un groupe vulnérable de la population qui ne parvient pas à se déplacer vers le centre-ville pour des raisons économiques et d’accessibilité.
L’accord entre DREAM et le Ministère de la Santé a été prolongé en juillet 2011 pour une durée de 3 ans. Suite à ce nouvel accord, le programme DREAM a été inclus dans le Plan national stratégique de lutte contre le SIDA. Cela a permis de renforcer la collaboration avec le Ministère de la santé, notamment, afin que les centres DREAM soient soutenus par les autorités dans le domaine de la fourniture des médicaments antirétroviraux.

Le 20 septembre 2011, un nouveau centre DREAM spécialement dédié à la prévention mère-enfant a été inauguré, à Dubreka, ville située à 50 km de Conakry, mais qui ne fait que prolonger la grande agglomération qui s’étend sur des distances toujours plus grandes. Ce centre est une réponse aux problèmes de transport auxquels devaient faire face de nombreux patients, provenant de cette zone, pour rejoindre le centre DREAM de Conakry. Les mêmes soins sont désormais disponibles plus près de chez eux. Un soutien d’ONUSIDA a permis à DREAM d’accueillir dans un premier temps 30 femmes enceintes séropositives pour leur permettre de suivre le parcours complet de prévention de la transmission du virus, tandis que l’on travaillera en même temps à augmenter la capacité d’accueil du centre. Le centre est petit mais l’espoir est grand : le cabinet médical est situé dans une grande cour, un endroit abrité, mais proche de la route régionale la plus importante qui mène à l’intérieur de la région de la Guinée maritime. La Première Dame du pays était présente lors de l’inauguration du nouveau centre et s’est engagée à soutenir le programme DREAM par l’intermédiaire de sa Fondation.

Kajunguti
2012-2014: Construction et équipement d'une pédiatrie
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Coût total du projet: 112'962.70 €
Action pour un Monde Uni: 37'654.23 €
Gouvernement Luxembourgeois: 75'308.47 €


Antécédents:

Le dispensaire de Kajunguti est l'un des établissements de santé appartenant aux Soeurs Thérésiennes du diocèse catholique de Bukoba.

Au début, une cabane a été construite afin de répondre à une demande de traitement toujours croissante et bientôt il y avait la nécessité de construire un centre plus grand.

Aujourd’hui, le dispensaire compte 15 lits et les Soeurs font tout pour qu’un maximum de patients puisse être soignés. Le problème auquel le petit dispensaire doit faire face est le manque d’espace pour le traitement des nombreux malades externes, ainsi que les quelques lits destinés à l’observation 24/24 heures des internes, notamment des mères enceintes.

Pour répondre aux besoins de la population et garantir un traitement efficace avec un suivi régulier, le projet à réaliser consiste en la construction et l’équipement d’une pédiatrie destinée aux soins de 26 enfants.

Description du projet à réaliser:

La pédiatrie ne sera pas un nouveau centre indépendant mais plutôt une extension du dispensaire qui existe déjà. Jusqu’à présent, le soin des enfants et des mères se fait ensemble dans la même cellule de traitement. La nouvelle construction de la pédiatrie va permettre de soigner les enfants séparément des mères, ce qui va réduire le risque d’infections.

1) Traitements et services offerts:

- Services aux patients hospitalisés : traitement d’infections courantes de l’enfance.
- Soin intensif des enfants.
- Soins inrmiers et traitement des enfants portants le virus HIV/SIDA selon les standards nationaux.
- Des interventions chirurgicales mineures.
- Education à la santé pour les parents et les gardiens.
- Promotion et suivi de la croissance et de la nutrition de l’enfant.
- Suivi des patients.

2) Construction de la pédiatrie:

- 3 chambres à 6 lits chacune et 2 chambres à 4 lits
- 1 salle de traitement, 1 salle de garde et 1 salle vidoir
- 3 salles de bain et 3 toilettes
- 1 salle de stockage pour le personnel et 1 salle de stockage pour les médicaments

2) Equipement et matériel:

- 24 lits, tables de chevet, draps de lit, moustiquaires, paravents, matelats
- 10 goutte à goutte (dripstand) et 10 bassins de lit
- 4 chariots médecine et 4 chariots linge
- 1 fauteuil roulant et 24 chaises pédiatriques
- 1 lampe d’examen et 1 machine à aspiration

Les bénéficiaires:

Les bénéficiaires sont les habitants du village Mushasha.
Selon des statistiques de 2011, Mushasha compte 2853 personnes avec 549 ménages, dont 144 sont des enfants de moins de 1 an et 387 ont moins de 5 ans. Le nombre de grossesses attendu pour l’année 2012 est d’environ 150.
Bien que la population dans le Misenyi district ne soit pas aussi dense que dans d'autres districts, la population augmente rapidement pour plusieurs raisons :
- la frontière avec l’Ouganda ce qui favorise un commerce,
- les plaines le long du Nil sont favorables à l’agriculture, il y a deux saisons de récolte,
- l’usine de sucre de Kagera attire un bon nombre de personnes dans la région an de travailler sur les plantations de sucre,
- de nouvelles colonies, écoles et petites entreprises émergent

2015-2017: Construction de logements
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Coût total du projet: 91'041.15 €
Contribution partenaire local (Diocèse): 1'012.85 €
Action pour un Monde Uni: 29'334.20 €
Gouvernement Luxembourgeois: 60'694.10 €


Entwécklung vum Dispensaire vu Kajunguti Phase I:

Phase 1: Bau an Equipement vun enger Kannerklinik

Phase II: Bau vu Wunnenge fir d’Personal vum Dispensaire.

Nodeems d’Theresieschwëstere mat Erfolleg déi éischt Phase vum Projet ofgeschloss hunn, krute mir de 16. Mäerz den Accord vum Kooperatiounsministère, fir déi zweet Phase vun dësem Projet unzefänken.

Hei nach e mol de Kontext : Kajunguti läit nordwestlech vum Victoriaséi, net wäit vun engem Floss et ass eng Géigend wou d’Malaria ganz verbreet ass. D’Kannerstierflechkeet an Tansania läit nach ëmmer bei 65,74‰ (2012). Fir op de Besoin vun der lokaler Bevëlkerung z’äntwerten an hinnen efficace Traitementer an och ee reegelméissege Suivi ze erméiglechen, hunn d’Schwëstere mat Ënnerstëtzung vun der AMU eng Kannerklinik gebaut. D’Kannerklinik ass elo fäerdeg. Et ass wierklech een einfacht, schéint a funktionellt Gebai ginn. Déi lescht Aarbechte waren de Bau vun engem Wee tëschent dem Dispensaire, der Kannerklinik an der Maternité, fir datt d’Personal an d’Patiente kënne vun engem zum anere goen.

Wat ass esou wichteg bei der zweeter Phase?

No beim Dispensaire gëtt et keng Logementer fir d’Personal. Dëst ass een Transportproblem. Am Noutfall ass et ganz wichteg datt d’Personal net ze wäit ewech vum Dispensaire wunnt.

Den Distrikt vu Kagera iwwerhëlt d’Paie vun deene Membere vum Personal, deenen den Dispensaire eng Wunneng zur Verfügung stellt.

Dëst huet een direkten Afloss op d’lokal Bevëlkerung:

Wann d‘Fonctionnementskäschten zum Deel iwwerholl ginn, erméiglecht dat dem Dispensaire manner Geld fir eng Consultatioun ze froen.

Wouranner besteet de Projet?

Et ass geplangt fir zwee Gebaier ze bauen, wou aacht Membere vum Personal kënne wunnen. An all Gebai si véier Schlofzëmmer a véier Salonen. D’Kichen, d’Buedzëmmer an ee klenge Bannenhaff gi jeeweils vun zwee Leit gedeelt. D’Wunnenge ginn och miwwléiert.


Dhulikhel
2015-2018: Première aide d'urgence pour la reconstruction et la réparation des postes de santé et de premier secours de Dhading et de Baluwa après les tremblements de terre de 2015.
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Coût total du projet: 362'210.65 €
Action pour un Monde Uni: 62'210.65 €
Gouvernement Luxembourgeois: 300'000 €


L’hôpital Dhulikhel (DHOS) au Népal a été créé en 1996 grâce à la collaboration entre la municipalité de Dhulikhel, NepaliMed Autriche et l’Association de Services de Santé de Dhulikhel. Le but principal est d’offrir des services de santé de qualité à chacun à des prix abordables. Depuis, l’hôpital s’est développé en permanence. A l’hôpital sont rattachés 16 postes de santé de premiers secours délocalisés et une école d’infirmerie avec poste de premiers secours. Ces postes sont aménagés au coeur des villages, donnant ainsi la possibilité aux habitants des régions montagneuses, éloignées de toute route macadamisée, d’être traités sur place et ils n’ont plus à s’absenter pendant plusieurs jours pour un problème de santé.

Ces centres peuvent loger les patients ayant subi une intervention chirurgicale tout en permettant à un membre de la famille de rester avec le malade. Après les tremblements de terre dévastateurs d’avril et de mai 2015, le district de Dhading était l‘un des districts les plus touchés. Le centre de santé Chhatre-Deurali à Dadhing continue à fournir des services. Cependant de nombreuses chambres sont gravement endommagées, la bâtisse du centre de santé existant est dans un mauvais état et il est dangereux d’y entrer. L‘autorité du gouvernement a marqué ce centre de santé en zone rouge, donc il n’est pas sûr d’y travailler et de rester à l‘intérieur du bâtiment. Par conséquent, beaucoup de soins se font à l’extérieur. Le projet prévoit la remise en état de ce centre de santé. Dans le District de Kavrepalanchowk qui compte environ 150 000 personnes, la moitié de la population est devenue sans abri suite à cette catastrophe. Comme les dommages causés au poste de santé et de premier secours de Baluwa sont si graves, l’AMU prévoit une démolition et une reconstruction totale de ce poste.

2017-2018: Deux postes de santé et de premier secours au Népal
Projet

Aide aux victimes du tremblement de terre au Népal
Le dernier bilan du tremblement de terre s’élève à plus de 7.000 morts et 14.000 blessés !

Localisation

Action pour un Monde Uni a.s.b.l. s’unit à NepaliMed Luxembourg, qui coopère depuis 14 ans avec l’hôpital de Dhulikhel au Népal. L’hôpital qui existe depuis 1996 a l’expérience de travailler avec la population dans les régions les plus reculées et difficilement accessibles.


Situation actuelle

L’hôpital de Dhulikhel a pratiquement été épargné par le tremblement de terre. Le Docteur Ram Shrestha et toute son équipe travaillent 24 heures sur 24 pour soigner les nombreux blessés. Les couloirs et l’enceinte extérieure sont bondés de patients. Des gens arrivent à pied et portent des blessés sur le dos. L’armée népalaise a demandé l’aide de l’hôpital de Dhulikhel vu que dans la capitale Katmandou plusieurs hôpitaux sont détruits.


Description du projet

Il est essentiel de reconstruire ces postes le plus rapidement possible et nous sommes tenus de réagir d’urgence ! L’Action pour un Monde Uni s’engage ensemble avec NepaliMed pour un projet de reconstruction du poste médical à Dhading. Ce projet sera cofinancé par le Ministère de Coopération luxembourgeoise.

Bénéficiaires

Les bénéficiaires du projet sont bon nombre de familles des villages et vallées éloignés pour lesquels ces postes médicaux représentent le seul moyen de se faire soigner en cas de besoin d'assistance médicale.

Financement

314'547.86 EUR : Budget alloué au projet
232'765.41 EUR : Contribution du Gouvernement luxembourgeois
81'782.45 EUR : Contribution de l’Action pour un Monde Uni asbl

Partenaire local au Népal: CPT- Comissão Pastoral da Terre

Cofinancement du Ministère de la Coopération luxembourgeoise selon Accord Cadre de Coopération signé entre le Ministère de la Coopération luxembourgeoise et l’ONG Action pour un Monde Uni en date du 11.01.2018.

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